#livre76

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Résumé

L’expression « donner le bon Dieu sans confession »… vous connaissez ? Mais un visage d’ange cache parfois l’âme d’un tueur…
Quel rapport entre un petit garçon turbulent et assurément mal dans ses baskets et les disparitions d’enfants dans le petit village de Gleinbeigh en Irlande ? À première vue, aucun, mais il ne faut jamais se fier aux apparences…
Pourquoi trente ans plus tard, un inconnu s’en prend-il à une journaliste d’un grand journal parisien ? Y a t-il un lien avec le tueur de rousses sur lequel elle enquête ? Qui est le malade qui lui envoie des cadeaux si spéciaux ?
Et si passé et présent étaient liés ?

• auteur: Christelle Rousseau
  
• éditions: Évidence éditions
• format: papier
• nbre page: 356
• genre: thriller
• note: 4/5

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Mon avis

Je remercie évidence éditions de m’avoir sélectionné lors du Crazy Book Day pour découvrir ce thriller  que j’ai beaucoup aimé. J’ai littéralement  été happé par ce roman qui nous plonge dans une ambiance sombrement dérangeante.

Lorsque j’ai sollicité ce livre, je  savais exactement à quoi m’attendre du à la quatrième de couverture qui est trop parlante donc si vous n’avez pas lu ce livre un conseil ne la lisez pas 😆 sous peine que l’histoire vous soit dévoilée.
En effet , ce livre reprend avec maîtrise tous les codes du serial killer que l’on a pu voir dans diverses séries policières américaines.

J’ai vraiment adoré la plume et le style de l’auteur, une intrigue superbement bien menée, un suspense qui vous tient en haleine, une ambiance très anxiogène et glauque  qui se terminent sur un dénouement classique mais tout de même assez convainquant même si dois dire qu’un épilogue aurait été vraiment sympa pour ne pas nous laisser sur notre faim.

Les personnages sont bien campés, les rebondissements sont maîtrisés et bien dosés, pas de temps morts, un véritable page Turner . Ce thriller a vraiment été pour moi une excellente découverte.

Ce roman est découpé en deux parties: la première nous raconte l’enfance de Ben, un enfant surdoué mais assez taciturne et insupportable qui n’est pas aimé des autres qui vit seul avec sa mère.
La deuxième partie se situe une grosse vingtaine d’année après ou un tueur de femmes rousses va s’en prendre à une jeune journaliste. Pourquoi? Dans quel but? Quel est le rapport entre cet enfant et ce tueur en série?

#livre35

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Résumé

« A l’été 1991, j’étais une enfant comme les autres. Je faisais des choses normales. J’avais des amis, et une mère qui m’aimait. Jusqu’au jour où on m’a volé ma vie. Je suis restée prisonnière pendant dix-huit ans. J’ai été un objet dont quelqu’un a usé et abusé. Pendant dix-huit ans, on m’a interdit de prononcer mon nom. Je suis devenue mère, et on m’a forcée à devenir la soeur de mes enfants. Pendant dix-huit ans, j’ai supporté l’insoutenable.
Le 26 août 2009, j’ai retrouvé mon nom. Je m’appelle Jaycee Lee Dugard. J’ai survécu. On m’a volé ma vie. Ceci est mon histoire, écrite avec mes mots, à ma manière, de la façon dont je me la rappelle ».

• auteur: Jaycee  Dugard
• éditions: Archipoche
• format: papier
• genre: témoignage
• nbre page: 275

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Mon avis

Je remercie les éditions de L’Archipel pour ce livre qui je dois dire m’a beaucoup touchée. En effet , ce livre est un témoignage poignant, déchirant qui marque les esprits et nous fait nous questionner sur plusieurs points. Ce n’est pas de la fiction mais bien la réalité, et l’auteur nous narre son histoire en revenant sur cet épisode horrible de sa vie avec justesse et sincérité.
Je n’ai pas l’habitude de chroniquer ce genre de lecture et je dois avouer que je trouve cela assez complexe et difficile c’est pour cela que je ne noterai pas ce roman car j’estime que l’auteur nous livre un pan de sa vie brisée et que je n’ai pas à la juger. Jaycee a choisit d’écrire ce livre avec ses mots, son style simple pour témoigner des violences qu’elle a subit pendant sa captivité afin que les journalistes ne la harcèlent plus et qu’elle et ses filles puissent se reconstruire. Par le biais de ce livre, elle a clos ainsi ce chapitre de sa vie même si cela restera un impact profond et durable sur sa perception d’être ce qu’elle est.